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Forum de l'actualité

Liberté de la presse
publié par MarcusLerr, le 27-09-2012
Wikileaks à l'ONU

Dans sa déclaration d'hier aux Nations-Unies, Julian Assange a rétabli les rôle de chacun lors du printemps arabe. Les événements actuels du monde arabe en découlent en grande partie.

Texte intégral de l'adresse de Julian Asssange (Wikileaks) devant l'Assemblée des Nations Unies le 26 septembre 2012 par liaison satellite :

Je m'adresse à vous aujourd'hui en tant qu'homme libre, parce que bien qu'ayant été détenu pendant 659 jours sans inculpation, je demeure libre au sens le plus fondamental et important du terme. Je suis libre d'exprimer mes opinions.

Cette liberté existe parce que la nation de l'Equateur m'a accordé l'asile politique tandis que d'autres pays se sont ralliés pour appuyer sa décision.

Et c'est grâce à l'article 19 de la Déclaration universelle des droits de l'homme que Wikileaks est en mesure de "recevoir et propager des informations ... à travers tous les médias et par tous les moyen sans considération de frontières". Et c'est en vertu de l'article 14.1 de la Déclaration universelle des droits de l'homme qui consacre le droit de demander l'asile contre la persécution, et la Convention de 1951 ainsi que d'autres conventions de l'Organisation des Nations Unies que je suis en mesure de recevoir protection de même que d'autres personnes subissant des persécutions politiques.

C'est grâce à l'Organisation des Nations Unies que je puis exercer mon droit inaliénable d'obtenir une protection contre les actions arbitraires et excessives des gouvernements pour moi ainsi que le personnel et les militants de mon organisation.

En vertu de l'interdiction absolue de la torture inscrite dans le droit international et les provisions de la Convention des Nations Unies contre la torture, nous, en tant qu'organisation, tenons à fermement dénoncer la torture et les crimes de guerre quels qu'en soient les auteurs.

Je tiens à remercier le gouvernement de l'Equateur pour son hospitalité et me fournir, ici aujourd'hui, un espace pour m'exprimer une fois de plus devant l'ONU, cela dans des circonstances bien différentes de mon intervention dans la Revue Périodique Universelle à Genève.

Il y a près de deux ans, je m'exprimais sur nos travaux pour faire la lumière sur la torture et le meurtre de plus de 100.000 citoyens irakiens.

Mais aujourd'hui, je veux vous raconter une histoire américaine.

Je veux vous raconter l'histoire d'un jeune soldat américain en Irak.

Ce soldat est né à Cresent en Oaklahoma d'une mère galloise et d'un père servant dans la US Navy. Ses parents sont tombés amoureux. Son père était stationné à la base militaire américaine au Pays de Galles.

Ce soldat a démontré ses talents prometteurs en remportant le premier prix 3 années consécutives à l'occasion de salons scientifiques.

Il croyait en la vérité, et comme nous tous, il haïssait hypocrisie.

Il croyait en la liberté et au droit de chacun à la quête du bonheur. Il croyait aux valeurs fondatrices des Etat-Unis indépendants. Il croyait à Madison, il croyait à Jefferson et il croyait à Paine. Comme beaucoup d'adolescents, il n'était pas sûr ce qu'il allait faire dans la vie, mais il savait qu'il voulait défendre son pays et en apprendre davantage sur le monde. Il s'est engagé dans l'armée américaine et, comme son père, a reçu une formation d'analyste du renseignement.

A la fin 2009, âgé de 21 ans, il s'est vu déployé en Irak.

Il est allégué que c'est là qu'il a découvert que l'armée américaine ne se conformait pas au droit, s'engageait dans l'assassinat et soutenait la corruption politique.

Il est allégué que c'est à Bagdad, en 2010, qu'il a fourni à WikiLeaks et au monde les détails qui ont révélé la torture des Irakiens, l'assassinat de journalistes et les registres détaillés de plus de 120.000 civils tués en Irak et en Afghanistan . Il est accusé d'avoir fourni à Wikileaks 251.000 câbles diplomatiques américains, qui ont ensuite permis de déclencher le printemps arabe. Ce jeune soldat s'appelle Bradley Manning.

Il aurait été trahi par un informateur, puis emprisonné à Bagdad, ensuite au Koweït, et enfin en Virginie où il a été placé en isolement pendant 9 mois et soumis à de graves abus. Le rapporteur spécial de l'ONU sur la torture, Juan Mendez, a enquêté et s'est officiellement prononcé contre les Etats-Unis.

Hillary Clinton a démissionné son rapporteur. Le soldat Bradley Manning, star des salons scientifiques, soldat et patriote, s'est vu dégradé, maltraité et torturé psychologiquement par son propre gouvernement. Il a été accusé d'une infraction pouvant déboucher sur la peine de mort. Ceci s'est produit tandis que le gouvernement américain a tenté de le briser, de le forcer à témoigner contre WikiLeaks et moi-même.

En date d'aujourd'hui Bradley Manning est détenu sans jugement depuis 856 jours, le maximum légal étant de 120 jours dans l'armée américaine.

L'administration américaine tente de mettre en place un régime de secret national, un régime obscurantiste, un régime dans lequel tout employé du gouvernement qui révélerait des informations sensibles aux médias se verrait condamné à mort, à la réclusion à perpétuité ou accusé d'espionnage, et les journalistes avec.

Nous ne devrions pas sous-estimer l'ampleur de l'enquête menée sur Wikileaks. J'aurais aimé dire que Bradley Manning a été la seule victime de la situation. Mais l'assaut sur WikiLeaks en rapport avec cette question et d'autres a constitué une enquête qualifiée par les diplomates australiens de sans précédent tant par son ampleur que sa nature. Le gouvernement américain a fait appel à tous les organes qui le constituent.

Les organismes gouvernementaux identifiés à ce jour ayant été impliqués dans l'enquête sont: le Ministère de la Défense, Centcom, la Defense Intelligence Agency, la Division d'investigations criminelles de l'armée des USA, les Forces Américaines en Irak, la Première Division Militaire, l'unité de l'armée des Etats-Unis dédiée à la cybercriminalité, le CCIU et la Deuxième Armée du Cyber-Command.

Et en leur sein, trois enquêtes de renseignement distinctes ont été menées:
- celle du ministère de la Justice dont le Grand Jury est basé à Alexandrie en Virginie, la plus importante,
- celle du FBI qui a produit, selon le témoignage de la cour au début de cette année, un dossier de 42.135 pages sur Wikileaks , dont moins de 8000 concernent Bradley Manning
- et celle du Département d'Etat et son ministère dédié à la sécurité diplomatique.

De plus, nous avons fait l'objet d'une enquête par :
- l'Office de la Direction Générale des Renseignements (ODNI),
- la Direction Opérationnelle du Contre-Espionnage (Director of National Counterintelligence Executive),
- la Central Intelligence Agency (CIA),
- le Comité de Surveillance du Congrès (House Oversight Committee),
- le Comité de la Sécurité Nationale Intergouvernementale (National Security Staff Interagency Committee),
- et le PIAB - (President's Intelligence Advisory Board)

Le porte-parole du ministère de la Justice, Dean Boyd, a confirmé en juillet 2012 que le ministère de la Justice enquête actuellement sur WikiLeaks.

Quant aux belles paroles de Barak Obama hier à l'assemblée des Nations Unies, et il y en a eu beaucoup, son administration se vante sur son site de campagne de la plus importante criminalisation de la liberté d'expression de tous les présidents des Etats-Unis réunis de l'histoire.

Je me souviens de la phrase: "L'audace d'espérer"

Qui peut dire que le président des États-Unis n'est pas audacieux ?

N'était-il pas audacieux pour le gouvernement des États-Unis de s'octroyer le crédit de l'avalanche de progrès des deux dernières années ?

N'était-il pas audacieux de dire, mardi, que "les États-Unis ont soutenu les forces du changement" du printemps arabe ?

L'histoire de la Tunisie n'a pas commencé en décembre 2010. Et Mohammed Bouazizi ne s'est pas immolé par le feu pour que Barack Obama puisse être réélu.

Sa mort est emblématique du désespoir qu'il a dû endurer sous le régime de Ben Ali.

Le monde savait, après avoir lu les publications de Wikileaks, que le régime de Ben Ali et de son gouvernement avait, pendant de longues années, bénéficié de l'indifférence, sinon de l'appui, des États-Unis - en pleine connaissance de ses excès et de ses crimes.

En conséquence, le soutien des Etats-Unis aux forces du changement de leur pays doit venir comme une surprise pour les Tunisiens.

Le soutien de l'administration américaine au changement en Egypte doit venir comme une surprise pour les adolescents égyptiens qui ont lavé leurs yeux des gaz lacrymogènes américains.

(suite post suivant)

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Wikileaks à l'ONU
publié par MarcusLerr, le 27-09-2012
(discours de Wikileaks à l'ONU suite)

Il doit être surprenant pour ceux qui ont entendu l'insistance de Hillary Clinton sur la "stabilité" du régime de Moubarak, qui ne l'était clairement pas pour le reste du monde, et son insistance pour que le tant haï chef des services secrets, Sueilman, prenne la gouvernance du pays, alors que nous avions établi que c'était un tortionnaire.

Il doit être surprenant pour tous les Egyptiens d'avoir entendu le vice-président Joseph Biden déclarer qu'Hosni Moubarak était un démocrate et que Julian Assange était un terroriste high-tech.

C'est un manque de respect à l'égard des morts et des incarcérés du soulèvement du Bahrein d'entendre que les USA ont soutenu les "forces du changement".

C'est effectivement audacieux.

Qui pourrait prétendre qu'il n'est pas audacieux que le président - soucieux de paraître comme un leader - se retourne sur cet océan de changements, changements par le peuple, pour se l'approprier ?

Mais nous pouvons nous réjouir là aussi, car cela signifie que la Maison-Blanche a vu que ce progrès est inévitable.

En cette "saison de progrès", le président a vu de quel côté le vent soufflait.

Et il lui faut maintenant faire croire que c'est son administration qui l'a fait souffler.

Très bien. C'est mieux que l'alternative - celle qui consiste à se laisser aller à l'insignifiance tandis que le monde bouge.

Il nous faut être clairs ici. Les Etats-Unis ne sont pas l'ennemi.

Son gouvernement n'est pas uniforme. Dans certains cas, les gens honnêtes des États-Unis ont appuyé les forces du changement. Et peut-être que Barack Obama a été, à titre personnel, l'un d'entre eux.

Mais dans d'autres cas, en masse et dès le début, ils s'y sont activement opposés.

C'est un fait historique.

Il ne serait pas juste mais inapproprié pour le président de fausser ce dossier à des fins politiques ou pour cause de prononcer de belles paroles.

Le crédit ne doit être accordé que lorsqu'il est dû, mais refusé lorsqu'il ne l'est pas.

Pour les belles paroles, ce sont des belles paroles. Et nous nous inclinons en accord avec ces belles paroles.

Nous sommes d'accord avec le président Obama qui a déclaré hier que les gens peuvent résoudre leurs différends de manière pacifique.

Nous sommes d'accord que la diplomatie peut remplacer la guerre.

Nous sommes d'accord que le monde est interdépendant et que nous y avons tous un intérêt commun.

Nous sommes d'accord que la liberté et l'autodétermination ne sont pas des valeurs purement américaines ou occidentales, mais des valeurs universelles.

Et nous sommes d'accord avec le président quand il dit que nous devons parler honnêtement, si nous sommes sérieux quant à ces idéaux.

Mais les belles paroles languissent sans des actions en rapport.

Le président Obama s'est prononcé avec vigueur en faveur de la liberté d'expression.

"Ceux au pouvoir", a-t-il dit, "doivent résister à la tentation de réprimer l'opposition."

Il y a des moments pour les mots et il y a des moments pour l'action. Le temps des paroles est épuisé.

Il est temps pour les Etats-Unis de cesser leur persécution de WikiLeaks, de mettre fin aux persécutions de nos gens, et de mettre fin aux persécutions des sources présumées.

Il est temps que le président Obama fasse ce qui est juste, et rejoigne les forces du changement, pas par des belles paroles, mais par des beaux actes.
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L'Amérique n'écrira pas l'histoire musulmane
publié par Abdul, le 28-09-2012
citation :
L'histoire de la Tunisie n'a pas commencé en décembre 2010. Et Mohammed Bouazizi ne s'est pas immolé par le feu pour que Barack Obama puisse être réélu. ....
En cette "saison de progrès", le président a vu de quel côté le vent soufflait.


L'Amérique n'écrira pas l'histoire des Musulmans. Elle leur appartient. Et l'Amérique est en train de se décomposer pendant que l'Islam se rassemble sur ses valeurs communes. Tous les problème que l'on constate là-bas sont créés par les occidentaux.
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C'est aux peuples d'écrire leur histoire
publié par sebos.eidos, le 30-09-2012
comme le dit le titre ce sont les peuples qui doivent ètre a l'origine de leur histoire et PAS DES PSEUDO GOUVERNANTS IGNORANTS ET VENDU a la solde d'un groupe qui prétend avoir droit de vie et de morts sur le monde du vivant.
VOULEZ VOUS VRAIMENT LAISSER CES INCAPABLES GUIDER VOTRE AVENIR????????
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Julian Assange ennemi d' etat
publié par MarcusLerr, le 30-09-2012
La nouvelle est tombée, Julian Assange vient de voir son statut passer de journaliste à "ennemi des USA". Cela signifie que :

- OBAMA peut désormais le faire assassiner à tout moment,
- si Assange sort de l'ambassade, il sera assurément arrêté, extradié vers la Suède et de là aux USA,
- s'il est extradié vers les USA, il sera transféré à Guantanamo et torturé.

Et c'est plein d'implications pour le monde :

- le journalisme est illicite,
- tout journaliste qui divulguera des secrets dans le futur recevra un traitement identique.

Il faut lever une ambigüité sur ce qu'est le journalisme. Les infos que l'on voit à la télé au 20h, ne sont du journalisme que par la cooptation des vrais journalistes. Ce sont des gens qui parlent bien et présentent bien. Ils répètent ce qu'on leur dit de dire. Mais le journalisme, le vrai, est celui qui va chercher l'information cachée et veille à ce qu'ellle ne soit pas manipulée. C'est le journalisme d'investigation indépendant qui garantit nos libertés et en aucune façon celui de la presse officielle. Toutes les dictatures, comme l'ex-URSS, l'Arabie Saoudite et la Corée du Nord, ont des "présentateurs" et des "reporters". Mais ils n'ont pas de journalistes d'investigation indépendants. Ils ne sont pas libres. Les USA viennent de rejoindre les nations renégates.

Les USA n'ont aucune honte ni regret quant à leurs crimes contre l'humanité que Wikileaks a mis à jour :

- la torture dans les prisons d'Irak,
- le meurtre délibéré des journalistes,
- l'assassinat de familles entières,
- l'hypocrisie et le double jeu des USA dans les relations internationales,
- le soutien des USA aux dictatures arabes.

Assange est un héro, et quoiqu'il lui arrive, l'humanité lui sera redevable à jamais. Quant à l'Amérique, c'est un état voyou à bannir de tous les partenariats de la planète. La seule bonne mesure est un embargo mondial contre ce Satan.
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Union Européenne censure la presse
publié par Optimus, le 16-10-2012
L'Union Européenne dépasse son mandat et censure la presse. L'émission de 19 chaines iraniennes est désormais bloquée. L'UE donne comme prétexte les sanctions contre l'Iran. Mais il ne s'agit pas ici de sanctions économiques mais de liberté de la presse. Et on ne connait toujours pas l'objet des sanctions économiques contre l'Iran vu que ce pays se conforme en tous points au droit international, qu'il permet les inspections de l'AIEA et qu'il affirme ne pas envisager de développer l'arme nucléaire. Mais ce débat est hors propos. C'est de la diffusion de l'information objective et indépendante qu'il s'agit. Il y a 15 jours on faisait grand cas de la liberté de la presse dans l'affaire des caricatures de Mahommet. Maintenant, on nous empêche de connaître les points de vue adverses, ce qui n'est que notre droit inaliénable.

La chaine PressTV est particulièrement dans le colimateur de l'OTAN. C'est elle qui a apporté la preuve des violations des droits de l'homme par les rebelles équippés et entraînés par l'OTAN en Syrie. Et c'est son reporter Maya Nasser qui a été assassiné par un commando d'élite à Damas il y a quelques jours.

Ces sanctions contre la presse ne visent rien d'autre que d'empêcher la vérité de parvenir aux oreilles des populations européennes. Et c'est nous, le peuple européen, qui en sommes les premières victimes.

Pour ceux qui ne la connaissent pas, PressTV est une chaine d'information comme les autres à cela à près qu'elle ne se réfugie pas derrière le point de vue officiel de l'OTAN. Elle n'a rien d'une menace pour nos oreilles et ce n'est en rien une chaîne Islamiste. On peut s'en rendre compte par ses débats et reportages qui sont transposés chaque jour sur Internet et qui recueillent les points de vue de toutes les tendances aux USA, en Europe et au Moyen-Orient. C'est une chaîne de qualité et non de propagande. C'est pourquoi elle est censurée.

A côté de cela, la presse occidentale est muselée. Les informations qu'on nous transmet sont fausses, comme on a pu le constater depuis plusieurs mois dans le cas de la guerre syrienne. J'ai pu sans difficulté apporter la preuve sur ce forum et à 5 reprises qu'on nous ment. On nous asphyxie et on nous intoxique.

Nous sommes lésés par l'Europe et l'OTAN. C'est une atteinte de plus à nos droits fondamentaux. Et celles-ci se multiplient. Cest le prélude de ce qui va suivre. Car il est clair que tout va empirer jusqu'à ce que le peuple y mette un terme.

Peuple français, sois fidèle à tes idéaux. Il faut te réveiller et résister.
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La presse muselée à Gaza
publié par Optimus, le 19-11-2012
Hier à Gaza, l'armée israélienne a délibérément attaqué au missile 2 batiments abritant la presse blessant 2 journalistes. Les 2 journalistes de la chaîne RT ont eu la chance de ne pas être dans leurs locaux à 14 h lorsque l'attaque a pris place.

Les pays occidentaux et Israel ne cachent même plus leurs tentatives de museler la presse et de l'empêcher d'exercer son droit inaliénable à la libre expression.

L'étau se resserre et le peuple français ne se préoccupe que de ses pretits problèmes. On en est arrivé à avoir perdu tout idéal. Nos leaders politiques démagogues s'en arrangent sans état d'âme. Et la France est devenue le plus fervent supporter de l'agression israélienne, avec le zioniste Laurent Fabius aux affaires étrangères.

Ne comptez plus que sur vous-mêmes.
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